Compléments alimentaires Métabolisme - système cardiovasculaire

Des compléments alimentaires peuvent aider l’organisme à mieux maintenir ses grands équilibres cardio-métaboliques : souplesse vasculaire, rythme et énergie du cœur, équilibre du cholestérol et des triglycérides, stabilité de la glycémie et statut en fer. Nos nutraceutiques, formulés avec des actifs purs et validés scientifiquement, soutiennent la circulation et l’endothélium vasculaire, tout en optimisant le métabolisme des sucres et des lipides. D’autres actifs vous accompagnent pour maintenir un bon statut en fer, favoriser une pression sanguine harmonieuse et préserver votre vitalité au quotidien.

Pourquoi accompagner son système cardio-vasculaire avec des compléments alimentaires ?

Le système cardio-vasculaire assure l’acheminement de l’oxygène et des nutriments vers tous les tissus. Il est mis à l’épreuve par un rythme soutenu, une sédentarité trop présente ou une alimentation peu favorable. Il en résulte un ensemble de signes comme la sensation de jambes lourdes, une pression artérielle fluctuante, une récupération plus lente. Les compléments alimentaires n’ont pas vocation à remplacer une hygiène de vie ni un suivi médical, mais ils offrent des leviers naturels pour soutenir les vaisseaux, aider le cœur et protéger l’endothélium au quotidien. La sensation de jambes lourdes est fréquente, surtout en fin de journée, par temps chaud ou lors de stations debout prolongées. Elle reflète souvent un retour veineux moins efficace et une perméabilité capillaire accrue. Les compléments utiles visent trois cibles : 

1) Tonifier la paroi veineuse et soutenir l’élasticité des capillaires ;
2) Protéger l’endothélium du stress oxydant, facteur d’altération de la microcirculation ; 
3) Favoriser un flux plus régulier, en appui de mesures simples (hydratation, mobilité de la cheville, douches fraîches). 

Les polyphénols (OPC de pépins de raisin, pycnogénol… ), les extraits de myrtille ou le ginkgo sont classiquement utilisés pour ces actions. 

La tension artérielle et la souplesse des artères dépendent du tonus vasculaire, de la disponibilité d’oxyde nitrique (NO) et du stress oxydant qui touche les parois. Certains actifs agissent soit sur la souplesse des vaisseaux (polyphénols, thé vert…) ou sur la qualité du sang (oméga-3 ou vitamine K2 par exemple). D’autres agissent sur l’équilibre minéral (magnésium, potassium) qui participe à la relaxation vasculaire et à la stabilité du rythme. Enfin, les antioxydants aident à préserver la santé cardio-vasculaire générale en protégeant du stress oxydatif. 

Comment accompagner le métabolisme glucidique et lipidique ?

Le métabolisme glucido-lipidique forme un tout : une glycémie instable favorise la lipogenèse (triglycérides élevés), tandis qu’un excès de graisses circulantes entretient la résistance à l’insuline. Les compléments alimentaires visent à maintenir la courbe glycémique, protéger les lipides de l’oxydation et soutenir le foie, chef d’orchestre des équilibres métaboliques.

Concernant le cholestérol, le but n’est pas d’atteindre un chiffre arbitraire, mais de maintenir un LDL raisonnable et peu oxydé, des triglycérides maîtrisés et un HDL fonctionnel. Les polyphénols (hydroxytyrosol, OPC, resvératrol, catéchines du thé vert) protègent l’endothélium et aident à limiter l’oxydation du LDL, une forme particulièrement délétère pour la paroi artérielle. Les oméga-3 (huile de krill ou algues) soutiennent la qualité des lipoprotéines et la réactivité vasculaire. Les actifs qui optimisent le métabolisme hépatique (artichaut par exemple) sont utiles lorsque l’on cherche un appui plus global, toujours en complément d’une alimentation adaptée.

Les triglycérides répondent bien aux oméga-3 EPA/DHA, qui aident le foie à équilibrer la production de VLDL. La cannelle permet de maintenir la glycémie, la sensibilité à l’insuline et l’équilibre des lipides. Au quotidien, la gestion des sucres rapides et de l’alcool reste déterminante : quand l’insuline est dépassée, le foie convertit l’excès de glucose en triglycérides. 

Concernant la glycémie, un accompagnement efficace cible quatre leviers : 

1) le foie, en modulant la production de glucose entre les repas ;
2) l’intestin, en ralentissant l’absorption des glucides et en soutenant le microbiote ; 
3) le muscle, en facilitant la sensibilité à l’insuline et la translocation de GLUT4 (l’entrée du glucose dans la cellule)
4) le terrain, en réduisant le stress oxydant qui altère la signalisation insulinique. 

Pourquoi prendre un complément alimentaire pour l’hémoglobine ou le fer ?

Le fer est indispensable au transport de l’oxygène. Quand on manque de fer, plusieurs signes peuvent apparaître. Cela peut être une fatigue persistante non soulagée par le sommeil, une pâleur de la peau et des muqueuses, un essoufflement à l’effort. Aussi, on peut ressentir de la frilosité, avoir les ongles cassants et les cheveux fragiles. Côté cognition, on observe des difficultés de concentration et de la mémoire.

Les compléments à base de fer bisglycinate se distinguent par une bonne assimilation et une tolérance digestive supérieure aux sels ferreux classiques. Ils laissent moins de fer libre dans l’intestin, et donc irritent moins. La lactoferrine (sous forme apolactoferrine principalement) peut être utilisée seule ou en duo pour optimiser l’entrée du fer et améliorer le confort chez les personnes sensibles. Mais le fer n’est pas le seul actif intervenant sur la formation du sang. Les vitamines B9 et B12 participent à la maturation des globules rouges. Une supplémentation typique dure 8 à 12 semaines. Il faut valider la poursuite éventuelle avec un contrôle médical par des analyses sanguines.  

Les 5 mesures à prendre pour prendre soin de son métabolisme et de sa santé cardio-vasculaire

1) Alimentation : suivez le modèle méditerranéen. Remplissez l’assiette de végétaux (légumes, légumineuses, fruits à coque), d’huile d’olive vierge, de poissons gras (ou oméga-3 d’algues), de fibres et de protéines de qualité. Limitez sucres rapides, aliments ultra-raffinées, aliments frits et les excès d’alcool. 

2) Activité physique : l’objectif n’est pas la performance, mais la régularité. Cumulez 150 minutes d’activité modérée par semaine si possible, et surtout, bougez après les repas (10–15 minutes suffisent) pour aplanir la courbe glycémique. Ajoutez un renforcement léger (2 séances/sem.) pour l’insulino-sensibilité et la santé vasculaire. La marche, le vélo ou la natation sont indiqués.

3) Gestion du stress : un cortisol élevé fragilise le sommeil, stimule l’appétit pour le sucré et entretient les pics glycémiques. Il pèse aussi sur la tension artérielle. Intégrez des rituels simples : respiration lente (cohérence cardiaque 5 min, 2 à 3 fois/jour), exposition à la lumière du matin, coupure écrans le soir. 

4) Sommeil et rythmes : un sommeil court ou morcelé déséquilibre la glycémie du lendemain, augmente la faim et altère la tension artérielle. Visez une régularité des horaires, une lumière franche au réveil, une chambre fraîche, sombre et calme. Évitez la caféine en fin d’après-midi et l’alcool tardif. En cas de difficultés d’endormissement, privilégiez une routine apaisante (lecture douce, douche tiède, respiration). Si besoin, prendre des compléments qui calment l’excitabilité du soir (théanine, magnésium, mélisse) ou soutiennent les rythmes (mélatonine végétale).

5) Faites des bilans médicaux réguliers : un pilotage éclairé passe par des consultations qui mesurent vos paramètres métaboliques (tension, profil lipidique, glycémie, ferritine). En cas de traitement (anticoagulants, statines, antidiabétiques, thyroxine), demandez un avis professionnel : certains actifs naturels sont contre-indiqués.